Promenade de santé.

• Descendant avec en train les escaliers qui mènent aux dortoirs, Naizen se retrouve nez à nez avec un long, très long couloir. Sur chaque bord, des boites métalliques que l'on appelle Casiers. Aucun ne contient ses affaires de cours, et pour cause, il ne compte pas participer aux cours. Trop ennuyant, trop abrutisant, bref, autant aller dormir dans un bon lit douillé que sur une chaise pas confortable. Le nippon châtain avait laissé l'autre lavette terminer sa nuit sur le lit nuptial et profitait donc de ce sommeil profond pour s'aventurer dans les méandres de ce campus. Il y avait sans doute nombreuses choses à y découvrir comme par exemple, de belles nanas bien fournies en fesse et poitrine. Malgré qu'il soit homosexuel, Naizen ne se refusait rien. Une flamme vicieuse scintilla dans ses douces pupilles machiavélliques. Il n'avait croisé que cette nana impertinente lors de son arrivée et pour l'instant, elle était la seule victime dans son champ de mire.
Fouillant comme à son habitude dans sa poche, Naizen en sortit son paquet de clopes fétiches. Dessus, il avait dessiné pleins de coeurs, des étoiles, lui en version manga fumant tout le paquet en même temps. Désespérant n'est ce pas ? Y a de quoi. Mais le regard des autres lui importait peu. Il n'avait besoin de l'amour de personne, hormis celui de sa tendre lavette sur pattes, Takiji. Fourrant son paquet dont il manquait une cigarette dans sa poche, il se hâta de tater son briquet et de l'amener au plus vite au bout de ce cône de tabac. Là, une flamme rougeoyante jaillit du petit trou et vint allumer cette herbe tendre qui partit rapidement en fumée. Que cela était bon. Hum. Soudain, le bruit des talons typique des chaussures de Gronzesse retentit en écho dans l'enceinte. •

Micka avaçait lentement dans le couloir de l'école calme à cette heure ci, pour cause, tout le monde était en cours! Sauf elle... Bon d'accord en fait elle n'avait pas encore cours et elle devait impérativement corriger des centaines de copies toutes plus nulles les unes que les autres... Elle laissa echapper un petit soulagement et se remit en marche vers la salle des professeur située 1 étage au dessus.
Elle avait mal aux pieds, ayant mis des talons pour pouvoir paraître plus grande mais maintenant elle ne sentait même plus ses pieds... Moyen moyen comme idée! Elle se baissa donc pour enlever ses chaussures qui lui torturait ses magnifiques pieds xD! Elle marchait discretement pensant que personne ne serais dans les couloirs! Mais elle apperçu un jeune homme qui avançait dans sa direction une cigarette à la bouche d'un air nonchalant. Elle avança, oubliant qu'elle était pieds nus, pris la cigarettedu jeune homme et la jetta par dessus la fênetre proche d'eux. Elle le regarda d'un air méchant, elle deteste la clope! Comment peut on niquer sa santée comme si de rien n'était?!

"La cigarette est interdite dans l'établissement jeune homme! Si tu désire, cependant, te détruire la santée c'est dehors! Et puis que fais tu ici à cette heure là?! Tu devrai être en cours depuis bien longtemps!"

C'était bien la première fois qu'elle agraissait un élève comme ça, mais faut vraiment se foutre du monde pour faire ce qu'il a fait... Comment expliquez vous qu'on fume et qu'on sèche..? Bon c'est vrai qu'en tant que prof' elle ne pouvais pas comprendre qu'on puisse foutre en l'air des chances de réussir, mais au fond elle a été élève elle même!
Elle n'avait pas laché le regard de ce jeune homme qui semblait n'en avoir rien à faire!

• Effectivement, il n'en avait strictement rien à cirer. Il n'avait jamais été à l'école, c'est à peine si il savait faire des multiplications. Tout ce qui comptait pour lui, c'était de savoir lire et de savoir parler convenablement, le reste n'était qu'en option; une option qu'il n'avait jamais prise. Le grand nippon dévisagea d'un air colérique cette jeune femme qui se prenait pour onnesaitquoi. Elle venait de lui foutre en l'air une clope, elle le paierait par donnation de son corps. Naizen eut un sourire nerveux, ses yeux quittèrent rapidement le regard énervé que lancé la jeune femme qui ne faisait, que de très loin, peur. Ses deux pupilles se plongèrent dans le décoleté de la nana, quelle poitrine bien fournie, rien que ce plaisir absent de les sentir entre ses fins doigts, l'excita un poil. Pourquoi ne le suivrait-elle pas jusqu'à sa chambre ? Ils ont des comptes à régler elle et lui.
Fouillant à nouveau dans sa poche, il reprit une cigarette et par la suite son briquet qui vint rallumer une seconde fois une cigarette. Après deux reprises de flamme, la clope s'alluma laissant son tabac grésillait sous la chaleur. La fumée qu'il avait en bouche s'envola avec rapidité sur le visage douceureux de cette poupée gonflable. De son autre main, il vint caresser cette peau si douce, presque aussi douce que son tendre chiffon encore blottit sous les couvertures. Un sourire amusé se dessina par la suite, et ses lèvres retrouvèrent la douceur de la cigarette. Naizen prenait soin d'écarter son objet fétiche des mains dévastatrices de cette impertinente. De longues minutes s'écoulèrent dans un silence étonnament pesant, il se brisa en mille quand Naizen répondit doucement à la Gronzesse.

" Je me fiche des règles de cet établissement, c'est moi qui instaure les miennes aux autres dès aujourd'hui. Ne t'avises plus de parler sur ma santé, sur ma vie alors que tu ne la connais pas. "

Sur ceux, la main fugitive de Naizen vint se déposer avec allégresse sur cette fesse dodue et ferme, massant cette bonne chaire tendre qui n'attendait que d'être mise à nue. •

Micka, faut avouer, ne fut pas surprise de la réponse de ce jeune homme qui semblait sortir tout droit d'un film d'horreur japonais! Déjà rien qu'a le voir il donnait l'envie de vomir mais ça s'intensifiait quand on l'entendait parler. Quelle horrible personne elle avait en face d'elle, elle en était pourtant amusé, amusé qu'on peut être aussi stupide et désespéré!
Le jeune homme avait sortit une autre cigarette et recommençait à fumer mais cette fois ci il évitait bien les mains ravageuse de la prof'.
Compréhensible ou non il avait besoin d'un sacrée visite chez le psy pour calmer sa stupidité maladive. Elle le dévisagea autrement, elle riait maintenant. Elle été peut être aussi folle que lui et ça la rendait joyeuse.
Elle le laissa avec sa cigarette, se disant que rien ne servait d'essayer de le sauver puisqu'un type comme ça il était mieux mort, même pour lui même! Elle leva un sourcil et répondit d'un ton beaucou, beaucoup plus calme qu'à la base.

"Ta prétention me fait bien rire, tu est pathétique à vouloir tout contrôler! Pense tu me faire peur? Et bien je vais te répondre: NON. Tu devras suivre les rêgles et je te veux dans mon prochain cours d'anglais!"

Elle avait à peine finie sa phrase qu'elle senta sa main se glisser vers ses fesses et leurs corps se rapporcher d'un coup. Elle sursauta à ce contact physique innatendu et s'empressa de repousser le jeune homme. Elle ne voulais pas le giffler, c'est sûrement ce qu'il cherche, la douleur de sa main au fond de sa joue très fort! Elle le regarda avec dégoût, il l'a dégoûtait pire que tout, même si il ne semblait pas méchant...
Elle lui, dit comme gise de vatefairefoutre:
"Espéce de petit minable vicieux, que veux tu? Que je te suive dans ta chambre?"

• Souriant tellement amusé par l'attitude de la naine, elle avait peur cela se voyait dans son regard et pour dissimuler cette peur, elle la camoufflait sous un rire forcé, nerveux. Comme ceci était amusant. Oh que si, elle lui obéirait, à moins qu'elle ne veuille se retrouver à poil et lui offrant son corps rebondi ? Mettant dans un coin de sa caboche ces idées perverses, Naizen continuait inlassablement d'envoyer ces nuages grisâtres nés de sa tendre cigarette dans le visage de la poupée gonflable. Il ne s'arrêtait pas de la maintenir contre lui, serrant davantage et lui enfonçant ses longues ongles dans le dos.

" Shut up, please. Listen to me. As-tu peur de moi petite naine gonflable ? Veux-tu que je t'ôte ton silicone à main nue ? Le désires-tu ? "

Souriant et la regardant d'un air complétement diabolique, qu'elle s'énerve, ça l'excitait encore plus. Oh, voilà que maintenant, elle lui proposait des petites gâteries dans sa chambre ? Comme cela était touchant, il se sentait profondément aimer d'un coup. La maintenant contre lui, il s'approcha encore plus, prenant soin de lui écraser ses doux petits orteils laissés à l'air libre. Ses énormes plateformes prirent soin de les écrabouiller délicatement avant de s'en détacher à contre coeur. Elle ferait bientôt moins la maline, il lui fallait juste le temps de découvrir qui était réellement Naizen, ce qu'elle ne savait aucunement. Elle ne savait rien de sa vie, rien de son enfance, elle ne pouvait donc pas se permettre de salir davantage sa vie minable. Lui aussi, il pouvait très bien l'insulter de vieille coincée du cul ou de mal baisée ou encore de prostituée. Quelle allure indécente pour une professseur. Voilà, l'image qu'elle donnait à ses élèves : Prostituez-vous en Angleterre. Pathétique personnage.
Le grand brun finit par arriver à la fin de ce jou-jou fumant, il balança à travers le couloir son mégot encore tout chaud et empoigna fermement de ses deux bras la jolie Donzelle. •

Le jeune homme avait repris leur entreinte, enfin si on pouvais appeller ça comme ça! Il lui faisait mal, elle se mordait le coin de la lèvre. Qu'allait il faire? Que voulait il? Ses questions qui semblaient si simple, Micka s'efforçait d'essayer d'y répondre mais en vain! Elle le sentait tout contre elle et ses bottes écrasant ses pieds nus, elle avait de plus en plus mal car il bougeait ses pieds, accentuant la douleur de la jeune dame.

"Je n'ai pas de silicone mais tu devrais t'en mettre dans le crâne! Arrête de me prendre pour une pute! Je pourrais te prendre pour un monstre tellement ta face de pet de répugne!"

Elle se mordait les dents essayant de se détachait de l'emprise quelque peu... dur du jeune homme qui semblait appreçier de la faire souffrir.
Elle voulais crier mais elle ne pouvais pas, comme si il l'en empêchait. Elle ne pouvait plus bouger à présent, chaque partie de son corps était contre son agresseur qui semblait de plsu en plsu excité par la situation.
Elle lui crâcha dessus et répliqua

"Tu n'es qu'un gros porc bas de gamme! Arrête de te prendre pour un roi! Tu n'es qu'un trou du cul prétentieux! Une mauviette qui veux faire sa lois!"

Elle essayait encore de se débattre mais plus elle essayait plus il la retenait contre lui. Elle aurait voulu lui envoyé un coup de genous dans ses parties intimes mais ses genous tremblait, elle commençai à trembler. Réaction incontrôlable et injustifiée qui décrocha un sourire à son agresseur. Elle se sentie encore plus mal.

"Ne croit pas que, parce que je tremble tu me fait peur! Ne te croit pas plus fort que tu ne l'es! Mais dit moi... Pourquoi es tu aussi horrible? Ta mère, elle t'a battue quand tu était petit?! Ou alors tu a besoin d'aller dans un asile de fou furieux?!"

Elle posa la question savant pertinamment qu'il allait lui cracher encore plus à la gueule en l'insultant de pute! Fausse image d'elle! Préjugés à la con! Mais personne ne sait faire sans! Les préjugés sont là partout! Et en ce moment elle en vivait un! Comment pouvait il croire qu'elle se prostituait? Peut être parce qu'il aimerais qu'elle le fasse?!! Qui sait? on ne peut pas savoir avec un con pareil!

• Otant ces plateformes des orteils de la mini-naine, mais gardant son corps maigre contre ce corps si rebondi, si appétissant. Elle n'avait toujours pas compris que plus elle s'énervait, plus elle l'excitait. C'était étrange dans cette caboche, mais après la vie qu'il avait mené autrefois rien ne pouvait être plus étrange. Face de pet, quelle bonne petite blague. C'était fait exprès si il avait ce visage cadavérique, morbide, c'était son propre vouloir de faire paraître cette image, alors cette insulte ne faisait que complimenter son fin chef d'oeuvre. Ses deux mains vinrent se glisser le long du bas de son dos, puis elles vinrent empoigner cette chère tendre typiquement féminine, que de fesses alléchantes. Naizen se redressa, laissant retomber vers l'arrière sa fine tête asiatique, et vint à serrer davantage la professeur d'anglais lorsqu'il écrasa dans la paume de sa main ces fesses tendres. Que de plaisir pouvait lui procurer une prof. Soudain, un flux de paroles grossières jaillirent des fines lèvres de la jeune femme, à nouveau ce regard malveillant, mystérieux accompagné d'un sourire malsain prit forme sur son visage. Un trou du cul ? Ca allait être le sien qui allait en prendre plein sa face. Un roi ? On ne l'avait encore jamais qualifié ainsi, mais à la limite pourquoi pas, c'est vrai qu'il voulait se montrer maître de tout. Et maintenant une mauviette qui veut faire sa loi ? Comme c'était touchant, mais il était très loin d'être une mauviette, il était plutôt du genre à faire ce qu'il disait, à faire appliquer ses propres lois à tous, sans pour autant être une mauviette. Serrant à nouveau ce petit corps frêle contre lui, il sentit que la jeune femme tremblotait, ne se maitrisait à moitié plus. Comme cela était touchant. Naizen ramena la tête de la jeune femme sous son cou et commença à lui caresser délicatement sa chevelure, histoire de la rassurée ? Petite blague anodine. Il prêtait sans arrêt écoute à ce qu'elle lui disait. A présent, elle venait de viser droit dans le mille, oui il avait été battu, oui il avait été violé, oui, oui, oui. Et alors ? Etait-ce pour autant de sa faute si il devenait complètement fou ? Un fou furieux comme elle disait ? Non, aucunement.
A ces paroles, le Grand Chatain écarta violemment le corps mou de Mickaela sans pour autant la lacher, et là sa fine main longue vint retrouver la joue douceureuse de la nana. Voilà ce qu'elle méritait depuis le début, une belle giffle. Il ne pouvait plus se retenir, elle le cherchait ? Elle venait de le trouver, et elle n'était pas au bout de ses peines. Aussitôt, il la ramena à nouveau contre son corps maigre, squelettique. Il commença à l'embrasser sur sa joue gauche, laissant de longs coulis de bave naître. Bientôt, il l'espérait, elle se retrouverait avec lui dans sa chambre et là, il serait maître de tout.
Il reprit son massage intempestif de ces nibards, de ce fessier bien gâté. Malheureusement pour elle, elle était vouée à rester avec lui jusqu'à la fin de la journée, jusqu'à ce qu'elle soit venue rejoindre son lit, tant pis pour les cours, de toute façon, elle parle aussi bien l'anglais que lui. Ahem. •

Micka sentait chaque détails des chaussures du jeune homme sur ses pieds et elle ne put s'empêcher de pousser un soulagement quand il lui retira ses affreuse godasses de ses pieds... Elle n'osa même plus les regarder, elle ne pouvais détacher le regard de ses yeux morbide, on avait l'impression, rien qu'à le regarder, qu'il n'avait pas dormis depuis bien longtemps... Il continuait de la tripoter, mais elle ne bougeait plus. Elle ne pouvais plus et ne voulait plus, car plus elle essayait plus il renforcait son attache et plus ça l'exitait... rien de bon. Cela faisait bien depuis 10 minutes qu'il passait ses mains autours du corps de Micka, pensait il qu'elle allait pleurer? Prétentieux, il ne lui fait pas peur! Elle sentit cependant sa main arriver dans sa joue. Elle ne se sentait plus et voulait que lui ne la sente plus! Elle réussi à déverouiller son genous et l'envoi en plus dans les parties intimes du jeune homme. Elle avait laché ses affaires et gifla le jeune homme en retour. Elle ne souriait plus et ne criait plus, la bave du type coulait encore sur ses joues et descendait jusqu'a sa poitrine tant aimée par celui çi. Elle ne sentait plus ses pied et ne rêvait que de meurtre en ce moment, elle rigola en essyant la bave du dégeu en face d'elle:

"Content? Tu m'a frappé... tu as aimé?"
Elle le regarda avec son air emplis d'orgeuil, car au fond, comment osait il faire ça à elle, saloperie de nippon^^ Encore un déganté qui ne pense qu'à se battre et s'envoyer en l'air. Elle ne pouvais plus bouger, elle savait qu'il pouvait la ressaisir encore une fois, et encore une fois lui détruire ses pieds mais elle ne bougait pas ou pas encore.
Elle lui souria en le narguant et articula

"Que vas tu faire maintenant"

• Maintenant, Naizen la serrait vigoureusement contre lui, lui enfouissant sa tête d'américaine contre son torse maigrelet, et il commença à se dandiner pour la bercer, maintenant de sa main la caboche de la professeur. Posant sa tête sur celle de la naine, Naizen ne manquait pas une parole de la sale mioche, d'ailleurs celle-ci s'empressa de le frapper dans ces parties génitales. Grave erreur de sa part, le grand chatain s'écarta tenant d'une main le corps de l'autre et de son autre main ses testicules. Il se malaxa quelques instants, histoire de faire passer la douleur, puis il se redressa de moitié dégageant son visage de ses longs cheveux. D'un regard méprisant, il observit la naine et un sourire mauvais se dessina progressivement. Elle ne savait pas à quoi s'attendre, elle n'était pas au bout de ses peines, la petite baffe qu'il lui avait infligé tout à l'heure n'était qu'une caresse, maintenant elle allait subir plus. Ce n'est pas que cela lui avait plus de la frapper, non loin de là, c'était juste qu'elle se permettait comme de se moquer de la vie drue qu'il avait mené étant jeune. Oui, il avait été violé, battu, tout ce qu'elle voulait, et ce n'était pas pour autant que c'était un fou. Voilà, la simple et bonne raison pour laquelle il l'avait frappé, elle lui avait rappelé son passé, une chose qu'il s'empressait de balayer de son esprit, et cette saloperie d'amerloc venait de lui remémorer; bref ce n'était pas pour un simple plaisir.
Ce qu'il allait faire maintenant ? Elle ne s'en doutait pas d'avance ? Réparer les dégâts tout simple. Se redressant violement, il la placarda contre un casier créant ainsi un écho métallique qui se dissémina dans le couloir. La tenant fermement par les épaules, il approcha son visage du sien ne détournant pas un seul instant son regard du sien. Il voulait lui faire comprendre qu'elle serait obligée de réparer de ses délicates mains. Sur une voix sombre, grave, Naizen lui répondit avec un sourire au coin de la bouche.

" Donne-moi tes mains. "

C'était un ordre qui en fait ne servait à rien, puisque le nippon lui prit d'assau ses deux mimines, la serrant fortement par les poignets, il lui glissa ses mains entre son entre-jambes. Caresse-moi, pétasse ou je te tue. C'était un peu ça qu'il avait en tête. Il ne se génerait pas pour lui claquer son beau visage de poupée porcelaine contre les casiers, contre les cadenas, contre les bords des longues armoires métalliques. Que déciderait-elle ? Se débattre et risquer de se faire défigurer sans que la chirurgie plastique ne puisse rien y faire ou le caresserait-elle jusqu'à temps que tout soit réparé et soit comme neuf ? •

[excuse moi du retard, j'ai bcp de boulot en ce moment :/ <3]

Micka ne put faire quelque chose, le nippon lui agrippa les mains en la balançant de tout les côtés, elle avait une joue rouge et elle sentait les larmes venirs! Pourtant elle ne lui ferais pas se plaisir, elle se pris dans son jeu! Les couloirs étaient encore vide. Elle ne le caressait pas, mais embrassa ses joues glacées en le poussant contre un casier, a elle de rigoler maintenant! Elle réussi a se detacher une mimine et se mis à lui déboutonner le haut de sa chemise, griffant son torse. Elle continuait de l'embrasser et mordait, parfois, ses lévres. Elle le sentait maintenant encore plus prés, sa respiration dans la sienne et sa langue dans sa bouche. Il l'avait voulu pute il l'a eu comme ça, il n'avait pas intêret à se plaindre! Elle sentait qu'il detachait son entreinte en restant, cependant brutal. Il avait encore son autre main en otage, elle ne comptait pas le caresser, elle ne faisait rien pour s'enlever de son emprise. Il allait la repousser sûrement, elle anticipa et s'arrêta le regardant droit dans ses yeux, elle croirait voir la mort mais la mort avec une gueule de nippon!
Ils restèrent silencieux en se regardant quelque minute, il semblait vouloir la tuer, mais si il osait, il finirais aussi mal qu'elle.
Elle ouvrit la bouche pour pouvoir parler, il ne baissait pas sa garde et son poignet kidnappé commencait à la faire souffir, il semblait encore plus hargneux. Elle était calée contre lui, elle detourna son regard et pu enfin articuler:

"C'est ce que tu voulais? Pourquoi fais tu cette gueule?... A moins que ce soit ta gueule de d'habitude?"

Elle laissa echapper un petit rire nerveux, elle ne le regardait toujours pas, elle ne voulait pas se transformer en pierre ou en figurine Naruto.
Elle essayait de s'echapper de son étreinte, si dure soit elle, ne pouvant cependant rien faire elle se résigna. Elle se posait toutes sortes de questions:
Qu'allait il faire d'elle?
Quand allait il la lacher?
Quand ça va sonner?
Ces galoperies sont... intêressante mais elle a cours aprés....!
Elle ne pouvais rien dire, rien faire! rien qu'avec son souffle il faisait un bruit pas possible! Ou c'est parce qu'il est juste en face de son oreille?

"Que vas tu faire maintenant?"

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